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Lev
1- ✨ BEAUTÉ: Comment se boucler les cheveux au lisseur, et LE lisseur
Ces dernières semaines, avec beaucoup d’ambition, ma quête a été d’apprendre comment se boucler les cheveux. Quête qui a nécessité un petit comparatif des appareils disponibles sur le marché de la boucle, des possibilités. J’ai opté pour un lisseur Diva, pour trois raisons simples:
a) je n’étais pas sûre d’y arriver, donc 160€ dans un appareil GHD: non.
b) Mon coiffeur a manié un lisseur Diva sur moi il y a deux semaines et m’a dit qu’il les kiffait. C’est aussi un ami, et cet ami est visiblement aussi obsédé par les comparatifs de produits pour trouver le meilleur. Et il a 14 d’expérience dans la coiffure: j’ai confiance.
c) j’ai pris un lisseur plutôt qu’un boucleur parce que j’aime bien la polyvalence du lisseur, et avoir un seul appareil plutôt que plusieurs.
Verdict: avec ce tuto Comment boucler vos cheveux au lisseur en 12 étapes avec photos de Wikihow d’une clarté incroyable, tout roule. Mon lisseur est topissime et ne m’a pas coûté un bras et mes cheveux sont au top de leur potentiel. Et je vous jure que si j’arrive à maîtriser le geste technique, vous pouvez le faire aussi !
2- 🦦 CONSEIL BIEN-ÊTRE: arrête de vouloir faire les choses parfaitement
L’autre jour, j’ai dit en story que j’avais un mantra anti-perfectionnisme: “toutes les belles choses de la vie méritent d’être faites en étant bâclées”
Il existe une version française de l’expression, qui est peut-être plus parlante (parce que j’ai vu en DM que ça avait été parfois mal interprété): “mieux vaut fait que parfait”.
Depuis trois ans, je suis une grosse bâcleuse de tout, et très fière de l’être. Je n’ai pas toujours été une bâcleuse, pourtant. C’était invivable: paralysée par le fait que j’allais faire beaucoup d’erreurs, je ne faisais rien. Pire: je ne tentais rien. PIRE: j’ai dévié d’ambitions dès le plus jeune âge parce que j’avais peur de bâcler.
Depuis que je bâcle, déjà, je vais quelque part au lieu d’être coincée. Et j’ai découvert que quasiment tout pouvait fonctionner par améliorations et que les erreurs irrattrapables étaient finalement très rares. Qu’avec du travail, on pouvait passer de nul à très bon pour peu qu’on accepte d’être nul au début. Bâcler permet de découvrir ses forces aussi. Ah, et que les gens s’en foutent de tes erreurs, généralement, ils te regardent même pas.
Bâcler, c’est un super pouvoir. Combien de gens restent coincés sans rien faire et sont frustrés ? Pas les bâcleurs. Qui se donne une chance de s’améliorer ? Pas les perfectionnistes: les BÂCLEURS.
Comment arriver à bâcler les choses ? Commence doucement par un truc sans trop d’enjeux. Fais un coloriage en dépassant. Cuisine un truc. Et répète, tous les jours, tout le temps. Habitue-toi à bâcler. Tu vas voir, tu vas kiffer bâcler au bout d’un moment, parce que ça va te donner confiance en toi quand tu vas voir ce que tu accomplis avec cet état d’esprit. Tu auras moins honte, tu auras plus de fierté et de bienveillance envers toi-même, sans jamais être laxiste parce que la seule condition pour être un bâcleur, c’est d’être en réalité un bosseur (et du coup tu seras fier d’être bosseur).
Julia March a écrit ce mantra fabuleux: “écris ta merde”. Moi je le décline en disant: “souffle un coup, et fais ta merde”.
🏀 Le bâclage est particulièrement bénéfique quand on commence un sport, y compris des sports très ambitieux ou qu’on s’y fixe des objectifs très ambitieux.
🤸 Rejoins le studio virtuel
pour voir à quel point tu progresses: c’est sans gros enjeu, durant les cours on te met à l’aise avec tout ce qui est difficulté et “perfection”, et aucune obligation d’allumer sa caméra !
3- 🧋GOURMANDISE: la Horchata de chufa
Malgré ma proximité géographique et culturelle avec l’Espagne, je n’ai découvert que récemment la Horchata de chufa.
C’est une boisson sucrée à base de souchet et originaire de Valence, qui ressemble un peu au lait et dont le goût rappelle vaguement l’orgeat (sauf que ce n’est pas de l’amande). C’est agréable et rafraîchissant, et j’ai hâte d’en boire l’été.
Ce n’est pas forcément facile à trouver en rayon de supermarché, mais ça peut s’y trouver (dans les rayons “cuisine du monde” en général). On peut la faire toi-même sinon.
4- 🥮INTERNET: @thebrontemarie
Bronte-Marie, c’est la reine des tutos make up sympas, simples, avec de belles références de produits, qui explique très généreusement les techniques et gestes, et a une voix tellement apaisante qu’on a l’impression d’écouter une narration d’Orgueil et Préjugés quand elle parle.
Make up artist de profession, son compte est une mine d’or !
5- 🩰MODE: les tenues Camymy Joly
Ces derniers mois, j’ai un gros ras-le-bol des marques habituelles de tenues de pole dance. J’en ai marre que ce ne soit pas bien coupé, que sauf rares exceptions les brassières soient une catastrophe quand on a de la poitrine, de passer mon temps à rajuster les bas pour que ça ne rentre plus dans les fesses, que les coutures laissent voir des faiblesses quelques mois après l’achat et que cette médiocrité coûte un rein (oui, je suis très fâchée).
Dans ma to-do list d’objectifs, il y avait m’offrir des tenues faites main de Lynda Rodrigo, qui a monté sa propre marque de pole: Camymy Joly. Lynda habille tout mon studio de pole et ceux de la région, et c’est bien normal parce que c’est beau, c’est ultra quali, confortable et compatible avec l’entraînement (ça a l’air d’être la base, mais je vous jure que les marques de pole installées ne s’en préoccupent souvent pas).
Cerise sur le gâteau: c’est souvent moins cher que les marques de pole habituelles. Sans rire. Le choix de tissus et de combinaisons est quasiment infini, la réalisation et la livraison sont rapides. Une perle rare.